140. Il n’est rien de plus grand…

1.
Il n’est rien de plus grand que l’amour du Calvaire !
C’est là que par sa mort Jésus nous fit droit.
Quel espoir pour le cœur chargé de sa misère !
Quel repos pour celui qui contemple et qui croit !
2.
Devant nous se dressait l’acte de nos offenses,
Mais l’abandon de Dieu, justement mérité,
N’est plus à redouter, puisque dans ses souffrances
Jésus-Christ s’est chargé de notre iniquité.
3.
Viens à Christ, cœur troublé, battu par la tempête,
Il n’a pour l’affligé ni mépris, ni dédain ;
Lorsque ta voix l’appelle, il entend ta requête,
Quel que soit ton malheur, son secours est certain.
4.
Béni soit le Seigneur, qui dans sa grâce immense,
Vint nous ouvrir le ciel par nos fautes fermé ;
Devant lui, l’adversaire est réduit au silence,
Et son bras redoutable à jamais désarmé.
info Informations
Paroles
E. Tissot-Robert
Musique
Anonyme
Première note
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