199. Autrefois loin de Dieu

1.

Autrefois, loin de Dieu, perdu, sans espérance ;

Comme un esclave au mal attaché,

Je marchais vers la mort, l’éternelle souffrance :

Juste châtiment de mon péché ;

Mais maintenant, Jésus est mon Sauveur ;

Je suis lavé de mes souillures,

Par son sang et ses meurtrissures ;

J’ai le pardon, la paix et le bonheur.

2.

Autrefois, dans la nuit, j’errais seul et sans guide,

Ainsi qu’un pauvre aveugle égaré ;

Je cherchais un chemin dans le désert aride,

Le cœur plein d’angoisse et déchiré ;

Mais maintenant, le Seigneur me conduit ;

Mon chemin n’est plus solitaire ;

Je marche à sa pure lumière ;

Sur mon sentier toujours sa face luit.

3.

Autrefois, ébloui par les attraits du monde,

Je croyais à leur charme trompeur :

Éphémères plaisirs, passagers comme l’onde,

Ne laissant qu’amertume et douleur ;

Mais maintenant, ma joie est en Jésus ;

Il est mon céleste héritage ;

Sa gloire sera mon partage ;

J’en jouirai parmi tous les élus.