215b. Quand ma route est obscure
1.
Quand ma route est obscure,
Qu’à peine une lueur
M’éclaire et me rassure,
Je regarde au Sauveur !
2.
Quand mon âme entraînée
Vers un plaisir trompeur,
Au mal est enchaînée,
Je regarde au Sauveur !
3.
Quand ma coupe est remplie,
Comblé par la faveur
Du Dieu que l’homme oublie,
Je regarde au Sauveur !
4.
Dans le calme ou l’orage,
La joie ou la douleur,
À toute heure, à tout âge,
Regardons au Sauveur !