220. Oh ! quel repos quand le mal m’environne

1.
Oh ! quel repos quand le mal m’environne
D’être conduit !
Autour de moi ton tendre amour rayonne
Quand il fait nuit.
Et pas à pas, je vais en mon chemin,
Toujours tenu par ta fidèle main.
2.
Ah ! trop longtemps, n’acceptant point de maître,
Manquant de foi,
Pauvre insensé, je ne voulais pas être
Conduit par toi.
Et l’ennemi s’attachait à mes pas,
Et m’entraînait où je ne voulais pas.
3.
Mais maintenant que tu m’as fait connaître
Ton grand amour,
Je ne pourrais sans toi, bien-aimé Maître,
Vivre un seul jour.
Je t’appartiens, mon cœur aime ta loi,
C’est mon bonheur d’être conduit par toi.
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